Interview

   Cette rubrique comportera des entrevue avec des riders, mais pas le petit jeun qui monte ou bien la star à la mode, on a préféré donner la parole à ceux qui ont des choses à raconter, comme d'anciens pro ou bien des riders qui travailles et/ou vives ou vivait de leur passion du roller.
Le premier à avoir bien voulu jouer le jeu est Nicolas Perrot et on a été agréablement surpris et on a appris plein de chose.
C'est la première interview Crew 007 et ça sera pas la dernière !

Seb: C'est parti pour  l'interview de Nicolas Perrot dit Saoul, dit Raoul et bien d'autres. Bon tout d'abord présente toi.
Nicolas: J'm'appelle Nicolas Perrot, j'ai 24 ans, j'habite à Lyon et je travail au magasin le Cri du Kangourou à Lyon.
S: Une question qui m'a toujours intrigué, d'où vienne tes multiples surnoms ?
N: A la base c'est des skaters qui m'ont donné ce surnom (Saoul) c'était à l'époque de l'aire de street de Fosh, où il y avait une mini une big rampe, mais c'est super vieux. Mais bon à l'époque, on commençait le roller et on était gamin, et puis il y avait des skaters puis ils m'ont donner ce surnom et j'ai jamais su pourquoi et puis c'est resté dans le roller avec des gens comme Antony de Crazyroller qui ont fait les premières interviews avec ce nom la et puis c'est resté.
S:Maintenant raconte moi un peu ton parcours, comment ça a commencer?
N: Au tout début c'était en quad, il y avait pas beaucoup de riders et puis après il y a eut le roller en ligne et le fait d'avoir fait du quad avant j'avait déjà un niveau correcte au niveau national et qui permettait de faire des compétitions au niveau international. Donc c'est vrai qu'avec Frank ( Rodulfo), Jean Michel (N'Guyen), Julien (Franc), moi, on faisait des compet' comme Lausanne, la première année et d'autres compètes comme Beaulieu par exemple et c'est la qu'on c'est mis à fréquenter des gens comme René Hulgreen, Raphael Sandoz et tout le milieu, tout le gratin.
S: Les pioniers, les créateurs…
N: Ouais, voilà  on a tous commencé dans le milieu du in line ensemble. Et puis il y a eut de sponsors qui sont venus Roces, Razors pour Frank.
S: Et pour toi ?
N: Pour moi j'ai été un année chez Rollerblade, avec Alex Colin comme manager, J'était avec Manu Locus, avec Tahiti, Thierry Lallemand, etc… Mais avant il y avait eu Roces, j'était avec Frank et Julien et puis plein d'autres petits trucs comme ça.
S: Tout ça en rampe ou en street ?
N: En rampe ! Surtout en rampe et avec quelques périodes street, mais c'était plus la big rampe avec les démos  avec Rollerblade.  Beaucoup voyagé, beaucoup bougé avec des choses comme ça en tant que sponsoring . Bon après commencer à bosser dans un magasin « who's next » à Lyon.
S: t'as bosser là bas ? Moi j'y allais quand c'était avec Braun.
N:  Ouais, ben c'était juste après moi. Mais au début , au tout début de « Who's next » j'étais là comme stagiaires et puis c'est moi qui leur ait donner l'idée de faire du roller car à l'époque il n'y avait que le Cri.  C'était un truc énorme il y avait tout dedans, une piscine, un Dj et même une aire de street à l'époque. C'était sympa en plus il y avait tous mes potes : Amor, Coco, Raph, Frank, tout ça . Ca a duré trois ans, ça m'a permis de rentrer dans le monde commercial du roller. Après j'ai travaillé pour Templar, presque un an.
S: La boite de distribution .
N: Ouais, j'était technico-commercial et je travaillais sur les produits O.U.T. .
S: Comme quoi ?
N: Ben par exemple la ligne de vêtement Out c'est moi qui l'ait dessiné, j'ai un peu travailler sur le Bloomer, des logos,  c'était moi qui avait fait la publicité.  En plus c'était un expérience internationale parce que Templar bossait avec tout le monde. J'ai même fait un salon à Chicago. 

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